D'après vos commentaires, voilà notre liste de six livres fondateurs. Comme vous avez dit en cours, ce n'est pas une liste représentative de la classe : bien que les deux premiers livres correspondent à des lectures assez "universelles", d'autres titres ont été choisis parce que nous les avons découverts il n'y a pas longtemps, et ils ont été commentés parce qu'ils ont motivé de futurs lecteurs.
Toutefois, l'objectif est atteint : nous avons parlé et écrit sur les livres et la lecture, et nous avons trouvé des suggestions de lectures pour l'avenir.
Continuez à nous suggérer des livres, fondateurs ou pas, bouleversants, choquants, tendres, apaisants... toutes les lectures sont bonnes pour l'esprit!
mardi 12 mai 2015
dimanche 10 mai 2015
Le livre fondateur de Juan Carlos Gallardo
J'ai choisi Le Petit Prince, je risque de ne pas être original, même s'il peut paraître que j'ai choisi ce livre pour faire plaisir à tout le monde, j'adore ce livre vraiment.
C'est le premier livre que j'ai lu en français, il était obligatoire dans mon lycée (comme dans tous les lycées). Je l'ai lu et relu plusieurs fois avec plaisir.
Notre petit prince raconte à un aviateur perdu dans le désert son voyage depuis sa petite planète jusqu'à la terre, en passant par des planètes très bizarres où habitent des personnages très drôles.
Je crois que ce livre transmet la paix au lecteur parce qu'il parle en même temps de l'individualité et l'importance des proches et de nos êtres aimés, et de l'insignifiance de nous tous au milieu de beaucoup de millions de personnes, toutes semblables.
Les nombreux personnages des planètes ont chacun d'eux une vie dédiée au travail, aux chagrins, à la recherche de quelqu'un qui l'aime. Le petit prince dit qu'ils sont de grandes personnes.
Des citations que j'ai toujours aimées :
« Il est contraire à l'étiquette de bâiller en présence d'un roi,...– Je ne peux pas m'en empêcher ….– Alors, lui dit le roi, je t'ordonne de bâiller »
« – Pourquoi bois-tu ? lui demanda le petit prince. …..– Pour oublier que j'ai honte, ….– Honte de quoi ? …...– Honte de boire !... »
« – Cinq cent un millions six cent vingt-deux mille sept cent trente et un. Je suis sérieux, moi, je suis précis.. »
« – Mais pourquoi viens-tu de le rallumer ? – C'est la consigne, répondit l'allumeur. – Je ne comprends pas, dit le petit prince. – Il n'y a rien à comprendre, dit l'allumeur. La consigne c'est la consigne... »
C'est un livre qui vous touchera si vous ne l'avez pas encore lu (les gens qui ne l'ont pas encore lu sont rares comme la merde de pape). Au revoir!
Le livre fondateur de Mariló Vaquero
La première année que je suis rentrée à l'école, notre prof de français
nous a proposé de lire un petit livre de poche appelé Monsieur Ibrahim
et les Fleurs du Coran d'Éric-Emmanuel Schmitt.
J'avoue qu'au premier moment je le trouvais un peux ennuyeux, mais à
mesure que je lisais, le contenu du livre me plaisait de plus en plus. On
peut dire que je commençait à être sur un petit nuage.
À Paris, le propiétaire d'un magasin musulman, un épicier,
devient l'ami d'un garçon juif, un adolescent affectueusement
surnommé Momo.
Monsieur Ibrahim, lui donne l'amour paternel et l'enseigne aussi
la connaissance du Coran. Il était un grand penseur et il a
toujours eu la bonne réponse pour Momo. Sa religion était le
"soufisme" ou la religion intérieure. Il était toujours en train de
sourire et sa devise principale était : "la lenteur, c'est le secret du
bonheur.
Dans un permier moment, ils n'ont pas beaucoup de choses en commun,
mais ils apprennent qu'ils peuvent enrichir leur existence. La chance
de Momo était de son côté pour rencontrer M. Ibrahim.
Momo est un enfant de onze ans qui se sentais seul et annulé par un
père qui n'exprime pas son amour, il se sentait perdu dans la vie.
C'est un enfant qui a l'esprit de vaincre et beaucoup de force
intérieure pour continuer à la recherche du bonheur.
Pour conclure, je veux dire que ce petit livre m'a fait réfléchir
sur les choses qui n'ont apparemment pas d'importance et, fréquemment
les apparences sont trompeuses.
Le livre fondateur de Julia Oliva
J´ai trouvé Orsenna à Nöel 2008, à Paris.
Comme chaque année, depuis les trois précédentes, je m'étais baladée dans les rues de Paris la dernière semaine de Décembre.
J´adorais visiter ses librairies et profiter en regardant "leurs habitants en papier".
Un matin, La Grammaire est une chanson douce est apparu devant mes yeux dans une étagère d'une librairie du Quartier Latin.
En tant que philologue, le titre attira rapidement mon atention. Je l'acheté et j'ai commencé à le lire.
À partir de ce moment, j'ai commencé à connaître un univers, à mon avis très intelligent et drôle, et une façon d´enseigner la structure de la langue francaise
lundi 4 mai 2015
Le livre fondateur d'Ismael
C'est vraiment difficile d'en choisir un seul parce que j'ai lu autant des livres merveilleux qui ont marqué m'a vie que j'ai dû bien réfléchir. Il y a des livres qui m'ont encouragé à lire quand j'étais petit, d'autres qui m'ont transporté à des pays lointains, vivre des anciennes époques ou sentir des émotions profondes. Je pourrais dire de nombreux bouquins mais la vérité est que le premier qui m'a bouleversé est Légendes de Gustavo Adolfo Bécquer. Je l'ai lu quand j'étais au lycée avec plus au moins quinze ans parce que notre professeur de Langue Espagnole nous l'avait demandé et, après avoir lu la première légende, j'ai été complètement touché par le mystère qui entoure chaque histoire.
Puisqu'il s'agit de beaucoup de petites histoires populaires, on peut les lire facilement et rapidement pendant qu'on est envahi par un monde magique et surnaturel, plein de superstitions. Chaque histoire est un univers différent qui nous fait sentir le plus profond des émotions humaines comme la passion, l'amour ou la religiosité mais aussi la vanité, la méchanceté et la fierté.
Il faut que je remarque ma légende préférée, c'est « Le baiser », l'histoire tragique d'amour d'un soldat français qui est tombé amoureux de la statue de marbre de la tombe d'une belle femme à Tolède. La manière de transmettre la tension et la peur m'a bien percé à chaque mot que je lisais sans pouvoir arrêter de lire le surprenant, à la fois que terrifiant, final.
À mon avis, l'une des choses le plus belles de lire est d'éprouver toute sorte de sentiments et d'émotions inattendus, c'est la capacité de nous faire sentir dans la peau du personnage et dans l'histoire qu'on raconte comme si c'était notre propre vie. Il n'y a pas beaucoup de livres qui réussissent ça, mais les Légendes de Gustavo Adolfo Bécquer est l'un d'eux, sans aucun doute, je le recommande absolument.
Le livre fondateur de Rafael Raya

Même si ce livre est un classique de la littérature française contemporaine duquel on a fait plusieurs adaptations théâtrales et cinématographiques, je ne l'avais lu jusqu'à il y a deux mois, par recommandation d'un ami. Le livre se développe sous la forme d'un journal écrit par Célestine, sa protagoniste incontestée. À travers elle son auteur, Octave Mirbeau, critique avec férocité la société bourgeoise française et européenne du début du XXème siècle. Une Europe qui s'achemine vers l'une des massacres les plus grandes de son histoire.
Le journal, comme genre littéraire, est spécialement bien choisi à cause de son vérisme. Célestine nous décrit l'intimité des différentes maisons où elle a servi comme domestique et nous peint un tableau complet des misères humaines auxquelles elle même ne peut pas se soustraire à cause de son déclassement. C'est cela le grand discernement du roman. Célestine/ Mirbeau se présente elle-même comme un être « disparate », « un monstrueux hybride humain », qui « n'est plus du peuple, d'où il sort », sans être pour autant « de la bourgeoisie où il vit et où il tend ».
En somme, je trouve ce roman très actuel et très recommandable parce que nous assistons maintenant à un type d'esclavage pareil à celui de domestiques de 1900, le travail précaire.
Le livre fondateur de Teresa
J'ai lu Poète à New York quand j'avais treize ans. Il m'a frappée comme une foudre. En ce moment-là, j'avais lu la poésie qu'on peut trouver dans les manuels scolaires. Il s'agissait d'une poésie pensée pour les enfants, une poésie dont on peut dire que le but le plus important était de faire rimer. Les mots étaient précieux, le ton était toujours digne et l'ensemble -qui peut en douter- il était toujours beau. Ces poèmes sonnaient bien, comme une chanson, comme une berceuse. Ils parlaient à notre âme, à nos sentiments et quand nous les avions lus, nous nous sentions mieux.
Mais les poèmes de Lorca n'étaient pas comme ceux que j'avais lus avant. Il n'y avait pas de rime, il n'y avait pas de beaux mots, il n'y avait pas de dignité. Les mots étaient laids, les images étaient dégoûtantes, il n'y avait pas de ton digne. Les mots voulaient frapper, les vers voulaient déplaire. L'auteur voulait que le lecteur se sente mal à l'aise, qu'il ferme le livre en sentant de l'angoisse, l'auteur voulait voir le lecteur souffrant. Et tout cela, c'est ce que j'ai senti en lisant ce livre.
Mais aussi, j'ai découvert avec lui des images comme je ne les avais jamais vues : surprenantes, effrayantes, mais aussi extraordinaires. Et il a été comme une révélation. J'ai compris que la poésie n'a rien à voir avec les beaux mots et les rimes, que la poésie est quelque chose qui frappe, qui arrête, qui, au lieu de donner du bonheur, il donne de la douleur. Avec ce livre, j'ai découvert toute la poésie et je pense aujourd'hui que, peut-être, j'ai découvert toute la littérature. Ensuite, Lorca m'a conduit aux symbolistes français : Baudelaire, Rimbaud, Verlaine… C'est comme cela que j'ai appris qu'il y avait une poésie maudite, tout un royaume des enfers attendant que je le lise. Et l'amour pour cette oeuvre de Lorca ne m'a jamais abandonnée. Il continue à être mon livre préféré de cet auteur et l'un de mes livres préférés de poésie de tous le temps.
Le livre fondateur de Carmen Moya
J'ai hésité à propos du choix de mon livre fondateur, parce que je sentais que j'avais dans mon cerveau plusieurs livres qui m'avaient fait vraiment changer la manière de voir la vie.
Néanmoins, à la fin j'ai choisi Cent ans de solitude, parce que ce roman m'a ouverte au monde de la littérature hispano-américaine. Je l'ai lu à l'âge de vingt-quatre ans, quand Gabriel García Márquez avait déjà gagné le prix Nobel de Littérature.
Cette oeuvre est tombée dans mes mains quand j'avais besoin de lire, de découvrir le monde et pour moi, elle l'a fait. Ce roman n'avait rien à voir avec aucun roman que j'avais lu avant. Pas en vain, il est souvent classé parmi les plus grands romans du XXème siècle. Je n'avais jamais lu un roman du réalisme magique, et cela m'a étonnée à la fois qu'il m'a beaucoup plu. Les événements extraordinaires comme l'élévation de Remedios la belle, ou la réapparition de personnages morts, me semblaient sublimes. Macondo reste dans un lieu privilégié de ma mémoire.
En 2014, la mort de García Márquez m'a fait penser à la nécessité de le relire. J'ai acheté le roman de poche parce que je ne l'avais pas dans ma bibliothèque. De ce fait, j'ai mieux compris les sujets dont il parle, comme par exemple, la solitude, tous les personnages semblent prédestinés à souffrir d'une solitude innée à la famille Buendia. De même que j'ai pu profiter de la bonne littérature.
Le livre fondateur de Charo
Si c'était un livre, ça serait la nouvelle Gigi de Colette. Je l'ai choisie parce qu'elle a été la première oeuvre adulte que j'ai lue et parce qu' elle a joué vraiment ce rôle fondateur pour moi. J'avais treize ans et ce petit roman d'amour marqua ma manière de faire face à la vie.
C'est l'histoire d'une jeune parisienne de quinze ans qui se rebelle contre la vie que sa famille a dessinée pour elle : petite-fille et nièce de deux demi-mondaines, Inès et la soeur de celle-ci, tante Alicia, elles lui apprennent son futur métier de grande cocotte. Pourtant, bien que destinée à conquérir les coeurs, Gigi est aussi simple et franche qu'une enfant. Elle entretient des rapports de bonne camaraderie avec le fils d'un ancien soupirant d'Inès, le riche héritier Gaston Lachaille, séducteur réputé. Lorsque Gaston tombe amoureux d'elle, la maturité et l'esprit décidé de Gigi se rebellent : elle refusera de n'être qu'une nouvelle conquête pour le jeune homme, au grand désespoir de sa famille.
Je ne vais pas vous raconter la fin du livre mais je vous dirai qu'il s'agit d'un des rares romans d'amour heureux de Colette.
Écrit en 1944, ce récit qui, à mon avis, fait le portrait, d'une manière suprême, de la sensualité et les premiers émois de n'importe quelle jeune fille, a inspiré divers cinéastes : ainsi, une adaptation en 1952 avec Audrey Hepburn et une autre en comédie musicale de Vincente Minnelli en 1959 ; je ne les ai pas vues. J'ai lu le livre en espagnol, à cet âge, et je ne sais pas si j'aimerais le relire. Peut-être, maintenant, pour exercer le français. Malheureusement, je crains que ça ne sera pas comparable à cette première fois.
dimanche 3 mai 2015
Le livre fondateur de Cristina
Je l'ai choisi comme mon livre fondateur parce qu'il a été, sans aucun doute, le livre le plus complexe que j'ai lu jusqu'à présent et pour moi, en tant que lectrice, il a été tout un défi. En outre, il n'a rien à voir avec aucun autre livre parmi ceux que j'ai lu auparavant. C'est-à-dire, il a un avant et un après.
D'un côté, il s'agit d'un roman d'apprentissage ou philosophique qui invite à réfléchir sur les sujets les plus variés : le temps, la maladie, la mort, la politique, la philosophie, etc ; et dont l'action se situe en Europe au début du XXème siècle. Moi, qui aime bien explorer la condition humaine et qui ne connais pas très bien l'histoire, ça m'a beaucoup plu de plonger dans les contradictions sociales et spirituelles de l'époque, juste avant la Première Guerre Mondiale.
De l'autre côté, même s'il s'agit d'une oeuvre assez longue et un peu difficile à lire (au moins pour moi), du fait des concepts qu'elle traite, et bien qu'il y ait des moments où elle puisse s'avérer un peu dense, je l'ai trouvée très intéressante, car elle montre de différents points de vue face à la vie et elle aide à mieux comprendre l'histoire d'Europe au vingtième siècle ainsi que les raisons qui mènent les individus, en particulier, et les nations, en général, à diriger leurs pas dans un sens ou dans un autre.
Enfin, encore que j'avoue qu'il faut avoir de la patience pour la finir, compte tenu de ses plus de mille pages, je recommande tout à fait sa lecture. Ne le doutez pas, tout dans cette oeuvre est justifié. Elle est merveilleuse, très riche au langage, aux raisonnements et aux émotions ; et la fin, elle est extrêmement bouleversante.
Le livre fondateur d'Isabel Rodríguez
Le livre qui m'a touché le plus n'est pas un roman. Vraiment, il m'a changée, peut-être grâce à mon désir de changer dans ce sens.
« Le Complexe de Cendrillon » est un terme forgé par Colette Dowling en 1981 pour décrire la peur des femmes à être indépendantes, la nécessité de être sauvées de leur malheur par l'homme idéal.
Le Complexe de Cendrillon est un livre de développement personnel qui montre les faiblesses de la femme, malgré son succès professionnel. C'est difficile d'admettre certaines parties du livre, mais peu à peu il t'amène à trouver les outils pour être responsable de ton propre bonheur et à être active dans la recherche.
À mon avis, ce complexe est de plus en plus fréquent aussi chez les hommes. La cause est différente, mais la relation de dépendance est pareille. Surtout les hommes qui sortent d'une relation découvrent qu'ils ne sont pas capables de vivre sans l'abri d'une femme. L'affinité, l'amour, … peu importent. Beaucoup de gens veulent un couple à tout prix. Peut-être je serai toujours célibataire à cause de mon exigence de ne pas être une nécessité mais un choix.
Livre fondateur d'Ana Álvarez
À vrai dire, je n'ai jamais su ce que signifiait réellement le mot "Lolita". J'ai toujours demandé sa signification aux personnes que je croyais qui pouvaient le savoir, mais, pour moi, ce n'était pas suffisant avec leurs explications. J'avais besoin d'un petit plus. Donc je me souviens d'un jour où mon père m'a suggéré de lire le livre Lolita que nous avons chez moi.
Avant de le lire, mon père m'avait dit que c'était une lecture un peu difficile et dure, il fallait avoir de la patience. Il faut avoir une certaine culture générale en relation avec la littérature, des écrivains, des livres et mêmes des philosophes pour arriver à comprendre toutes les allusions que le personnage principal et narrateur de l'histoire fait, mais en même temps ça n'empeche pas qu'on pouvait le lire et, en plus, le suivre.
Le livre a été écrit par Vladimir Nabokov, un écrivain russe très connu , précisément, pour ce roman qui a été son roman le plus connu et lu. L'histoire parle d'un professeur qui tombe amoureux de sa belle-fille, qui a 12 ans. Il s'agit d'un homme intéressé par des filles avec certaines caractéristiques physiques et personnelles. Elles sont de belles filles avec un visage angélique mais avec un regard très malin et un esprit coquin en plus d'une peau extrêmement douce et des vêtements qui les font briller à distance. Ce désordre mental vient marqué par la perte de sa petite copine quand ils étaient très jeunes, fait qui lui a provoqué un traumatisme.
À cause des caractéristiques de cette fille et du déséquilibre personnel et émotionnel de l'homme, une relation de protection s'établit, mais assez noire et macabre en même temps. Pendant la lecture, le livre réveille un point bizarre en toi-même qui peut te faire sentir de la morbidité ou bien du dégoût, par à-coups.
C'est pour tout ça que je viens de dire que j'aime beaucoup ce livre et je vous recommande de le lire.
vendredi 1 mai 2015
Le livre fondateur d'Inma
Je vais vous proposer un livre connu, La Délicatesse de David Foenkinos. Je l'ai choisi à cause de ma rencontre avec le français : il y avait dix ans que j'avais arrêté d' étudier cette langue, et quand je l'ai récupérée une autre fois, ce livre a été celui que j'ai lu premièrement.
Le livre raconte une histoire d' amour ou … deux. Une femme reste veuve de son mari, d'une façon tragique, c'est pour cela qu'elle continue sa vie sans illusion, une vie monotone, de la maison au travail et à l' envers. Cependant, au travail, il existe un camarade qui commence à lui parler, bien qu' elle ne lui fasse pas confiance, mais, petit à petit... ils décident de continuer à parler, et grâce à la grand-mère d' elle... Il faut le lire.
Le livre fondateur de Paco Lopez
J'avais 18 ans quand j'ai lu Le Nom de la Rose d'Umberto Eco.
Il a été l'un des mes premiers grands romans, et je dirais mon favori de ce genre de littérature.
Ce livre m'a emmené dans une époque passée, le moyen âge, où tout était nouveau pour moi, où toute l'information m'a fasciné. J'ai été étonné, passionné par l'histoire qu'il nous raconte, accro à la lecture de cette grande oeuvre littéraire, au moins pour moi. Même s'il n'est pas un classique...il a été un best-seller.
C'est un roman qui mélange l'aventure, l'intrigue, le genre policier, dans un moment historique où le pouvoir de l'Église était l'un de plus importants et forts et qui faisait basculer le pouvoir royal, avec lequel, elle avait un vrai tour de force.
D'autre côté, les personnages, l'argument, le mystère qui entoure tout...m'ont fait faire un voyage passionant dans le temps et dans une époque sombre de l'histoire de l'humanité, mais en même temps vraiment attirant.
Pour conclure, si vous ne l'avez pas lu, je vous conseille de le faire; c'est vraiment intéressant et inquiétant.
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